
Le Matsuri Japon est un événement annuel à l’image des festivals traditionnels japonais. C’est une façon de faire connaître la culture japonaise aux Montréalais et aux multiples touristes
(Cliquez sur les images)
Wikipedia nous indique que : « la plupart des matsuri sont liées à une célébration religieuse, le plus souvent shintō. Elles sont l’occasion pour les Japonais de se retrouver entre amis pour déguster des spécialités, assister à des feux d’artifices, et surtout faire revivre le folklore local ». Montréal était l’hôte samedi dernier d’une matsuri japon dont voici quelques photos.

Les matsuri sont des festivals et fêtes populaires japonaises, ayant généralement lieu durant la période estivale, dans pratiquement toutes les localités japonaises (Wikipedia)

Le Matsuri s'ouvre avec le transport du Mikoshi pour purifier la terre autour d'un temple dans une fête

Arashi Daiko signifie tambours de tempête. En 1983, un groupe passionné de tambours japonais fonde Arashi Daiko, le seul groupe de taiko de Montréal et du Québec

Il y aurait, au Québec seulement, 10 000 personnes de tous les âges qui pratiquent le judo récréatif

Le public était invité à participer aux célébrations en revêtant un Yukata et en prenant part à la danse
Bonjour! Je suis la jeune fille en kimono que vous avez photographiée avant d’entrer au festival. Je crois que vous êtes d’ailleurs le seule à posséder une preuve de ma présence ce jour là!!! Pourriez-vous m’envoyer la (ou les) photo que je puisse la montrer à mes amis? Se serait très gentil de votre part!!! Merci!
Émilie
Bonjour
Je me souviens fort bien de vous et c’est avec plaisir que j’acquiesce à votre demande. La photo est en route 😉
Bonne chance.
Pierre R.
Bonjour Pierre,
Parler du Japon, photographier ses représentants, et n’avoir aucun sumo sur les photos. Aucun samourai. Sacrilège.
Je ne savais pas ce qu’était le matsuri. Donc un sushi.
Je comprends dès lors le nombre de matsuri qu’il faudrait pour un sumo.
La cuisine japonaise est très différente de la chinoise.
Beaucoup plus chère aussi.
Pierre,
Beau reportage ! Dites-moi, la communauté japonaise, et plus largement peut-être la communauté est-asiatique est-elle nombreuse à Montréal ?..
L’enfoiré
La faute n’incombe pas à l’organisation mais au photographe. Les manifestations de sumo avaient lieu si tard que je ne pouvais rester pour les capter en images. Désolé, mon cher ami.
RV
Oui la communauté asiatique est très présente à Montréal. Et depuis longtemps. La population canadienne d’origine asiatique occidentale est concentrée en Ontario, au Québec et en Colombie-Britannique. La plupart des Canadiens d’origine asiatique occidentale habitent à Toronto, à Montréal ou à Vancouver. En 2001, 77 % des personnes issues de la communauté asiatique occidentale habitaient dans l’une de ces trois régions métropolitaines de recensement (Statistiques Canada).
Pierre R.
Merci pour ces précieuses informations !
Ok Pierre, Fautes avouées, fautes oubliées.
Les sumos ne sont pas des clichés pour un Japonais.
L’esprit samourai n’a pas disparu non plus.
Si, à une certaine époque, le Japon avait une position commerciale guerrière qui faisait peur même aux USA, ce n’est pas pour rien.
L’enfoiré
Merci de cette compréhension. Nous sommes bien d’accord sur l’importance des samouraïs au cours des sept cents ans d’histoire militaire du Japon. Ce n’est pas rien. Samouraï vient par ailleurs du mot saburau, qui signifie « servir ». Au cours de ma jeunesse, j’étais un amateur inconditionnel des films japonais qui relataient cette époque glorieuse du Japon. Kurosawa m’a fait rêver. Nous avions un petit cinéma d’art et d’essai à Montréal, le Verdi, qui proposait aux cinéphiles que nous étions de grandes fresques sur le Japon.
J’ai reloué les grandes fresques de Kobayashi : la condition humaine, Kwaidan et, bien évidemment, Harakiri.
Que de souvenirs, mon cher ami.
Pierre R.
Pierre,
Quand on prend le temps de voir ceci http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Arts_martiaux_et_sports_de_combat
on comprend tout de suite où on veut aller.
Le peuple japonais est un peuple fier. Cela le sauve et le tue à la fois.
Dernièrement, lors de l’émission radiophonique « Les Belges du bout du monde », il y avait un Belge qui vivait la-bas.
J’ai bien écouté. C’est clair.
Amélie Nothomb qui a écrit « Stupeur et tremblements », livre que je recommande, explique bien la chose. http://fr.wikipedia.org/wiki/Am%C3%A9lie_Nothomb
L’enfoiré
Merci pour les références. Je ne suis guère surpris de lire qu’Amélie Nothomb a vécu, au Japon, une expérience désastreuse. Tout un monde nous sépare entre l’Orient et l’Occident. J’apprécie beaucoup vos références qui m’en disent un peu plus sur nos perceptions respectives.
Pierre R.
Je n’ai pas pour habitude de poster des commentaires aux articles que je lis mais j’aime beaucoup votre blog.