Je ne suis pas architecte. J’aime pourtant les édifices et leur style. Pas n’importe lesquels, toutefois. J’aime aussi jeter plus longuement un œil sur les fenêtres et, plus largement, sur certaines façades qui n’ont rien d’impersonnelles. Parfois elles révèlent des indices. Parfois, les fenêtres restent silencieuses cachées par des dentelles ou des rideaux opaques. Parfois les façades nous offrent, en complément de leur beauté, une ornementation végétale. C’est un peu à cet exercice que je me suis livré dans le Vieux-Montréal. Je voulais transcender les simples détails d’architectures. Je me suis laissé guider par l’inspiration du moment et… par le beau temps. 😉 Voici le premier de deux volets sur les découvertes du Vieux-Montréal
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Quand on pense aux immenses services que rendent les fenêtres aux amoureux, il semble assez naturel d'en faire l'objet d'une contribution (Honoré de Balzac)

De-ci de-là on aperçoit encore d'anciennes maisons à colombages, aux fenêtres encorbellées, décorées de bois sculpté (Simone de Beauvoir)