La rivière des Prairies donne encore le spectacle d'un hiver majestueux
La rivière des Prairies sépare les villes de Montréal et de Laval et prend sa source dans le lac des Deux Montagnes pour se déverser dans le fleuve Saint-Laurent. Une centrale hydroélectrique de 45 MW, la centrale de la Rivière-des-Prairies, est installée entre l’île de la Visitation et la rive lavalloise. Construite entre 1928 et 1930, cette centrale a été transférée à Hydro-Québec lors de la nationalisation de la Montreal Light, Heat and Power, en 1944 (Source : Wikipedia).
Le dégel des glaces donne des paysages propres aux pays du nord
Mon ami Yves, un nouveau retraité, qui habite le nord de Montréal, m’a invité à parcourir quelques kilomètres au bord de la rivière des Prairies. J’ai pu prendre à mon gré, malgré la neige qui tombait, des photos qui ont profondément marqué ma journée. Je vous les livre simplement tout en remerciant mon copain Yves pour sa bonne patience et pour cette idée qui m’aurait échappé, autrement 😉
(N’oubliez pas de cliquer sur les images)
De la berge du barrage, situé du côté de Ville Laval, nous apercevons très bien la fonte des glaces de l'autre côté de la rive
De grands blocs de glace dérivent sur la rivière
Force est de constater que les rapides de la rivière viennent droit du barrage d'Hydro-Québec
La rénovation de la centrale, en 1985, s'est accompagnée de mesures de mise en valeur de l'environnement : une piste cyclable et un sentier pédestre ont été aménagés le long du barrage Simon-Sicard, sur la rive montréalaise, alors qu'une passerelle a été construite pour les pêcheurs, sur la rive lavaloise
Cette centrale, d'une puissance installée de 45 MW, a été mise en service en 1929
Comment ne pas rester saisi devant la beauté de ces chocs d'eau et de ces rapides qui se déversent dans la rivière des Prairies
Les glaces fondent et les eaux retrouvent leur cours
J'allais faire une autre découverte inattendue, grâce à mon ami Yves, le long de la Berge du Barrage
... D'abord, ces résidences au pied d'une magnifique falaise
Derrière ces résidences, une vue imprenable de la falaise qui domine la Berge du Barrage
Se dresse soudainement devant nous ce majestueux mur de glace. Tout semble figé dans le temps, jusqu'au dégel des glaces. Alors le printemps reprendra ses droits. Merci Yves
Les beautés de Montréal 
Cher Pierre
C’est un très beau sujet photographique que vous nous offrez.
Je suis impressionnée de voir ces gros blocs de glace ainsi que la force de l’eau. C’est un très beau spectacle.
Quant au mur de glace, je reste sans voix, il est de toute beauté. Et dire qu’au printemps, il n’y aura plus trace de ce mur haut comme une maison.
J’imagine que vous n’êtes pas prêt d’oublier cette belle journée inattendue.
Merci Pierre pour vos magnifiques photos. C’est toujours un plaisir.
Pierre, quelle photo finale ! Suis sans voix, comme Denise. C’est presque irréel.
Denise
En effet. Ce fut une belle surprise de découvrir ce mur. Une belle découverte de la nature. 😉
Christine
Je conviens avec vous qu’il est surprenant de découvrir derrière des habitations ce mur de glace. Sans voix également 😉
Pierre R.
Merci de partager les plaisirs et les douceurs d’une journée empreinte d’amitié et de découvertes.
Armando
Votre visite est déjà un beau partage. Merci.
Pierre R.
J’ai grandi à Montréal-Nord, un peu à l’est de l’île de la Visitation, avec la rivière des Prairies au bout de la rue et des champs, car il y avait encore peu de maisons…
Combien de fois suis-je allée regarder celle que j’appelle encore « ma » rivière…
Lali
Je comprends bien qu’avoir vécu auprès d’une rivière de l’importance de Rivière des Prairies, on veuille se l’approprier un peu. Que de souvenirs vous devez avoir vécu là. Pour ma part j’ai vécu près du Lac Saint-Louis. Nos réminiscences nous ramènent toujours près des lieux de notre enfance.
Pierre R.