
Par ce dimanche mi-ensoleillé mi-nuageux, je me suis laissé distraire par une chorégraphie aquatique inusitée

Les jeux d'eau sont une fascination à laquelle les jeunes ne peuvent résister
J’aime la jeunesse. Dans ma famille, je suis entouré d’une jeunesse parfois insouciante parfois très responsable. Et ces jeunes savent alterner entre insouciance et improvisation. Il y a certainement des moments de nostalgie dans ce goût pour l’improvisation. Ai-je manqué de ces instants de bonheur? Certainement. Les jeunes en font-ils abondamment usage? Peut-être. Je ne saurais trop les blâmer lorsque la possibilité s’offre à eux de jeter du leste. L’eau reste un objet de fascination. Tant pour les jeunes qui s’approprient ses propriétés que pour le photographe qui exerce son art.

Mesurer le jet telle une stalagmite 😉

Défier le jet en évitant d'être tempé à l'os 😉

Se glisser sous un pont d'eau. Le défi de l'instant

La chorégraphie est particulièrement réussie 😉

Pas de deux en duos

Il faut éviter surtout de perdre pied...

Il semblerait bien que ce coup-ci, c'est une réussite complète

Le défi fait des émules 🙂

Pourquoi rendre la vie complexe lorsqu'elle peut se révéler si simple à supporter?

Le défi parfois est de rendre compliquée une banalité en soi

Ajoutons volontiers au coefficient de difficultés, ne serait-ce que pour accroître le défi

Rien ne sert de courir, il faut partir à point (Jean de La Fontaine)

C'est réussi! « Il y a des pédagogues qui rendraient les enfants paresseux pour toute la vie, simplement parce qu'ils veulent que tout le temps soit occupé » (Emile-Auguste Chartier, dit Alain)