
Richard Buckminster Fuller - par son oeuvre - nous rappelle qu'il y a un monde à explorer et à protéger
J’avais longuement parlé de la Biosphère dans cette chronique de juin 2009. Un bref rappel : « L’Île Sainte-Hélène est agrandie par remblai et l’Île Notre-Dame est créée de toutes pièces à même le fleuve afin d’accueillir le site de la future Exposition universelle de 1967. La même année, la United States Information Agency demande à Richard Buckminster Fuller de lui présenter un projet architectural pour la participation américaine à l’exposition. Le 20 juillet 1967, le gouvernement américain fait don de son pavillon à la Ville de Montréal qui en prend officiellement possession le 31 janvier 1968 à 23 h 59. »
(N’oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir)

En 1999, la Biosphère signe une alliance stratégique avec l’équipe Cousteau qui porte sur la sensibilisation du grand public à la protection de l'eau

En 2007, la Biosphère devient un musée de l'environnement et son mandat régional s'élargit au reste du Canada

Visionnaire écologiste en avance sur son époque, Buckminster Fuller estimait que nous devions apprendre à gérer la planète d’une façon différente, plus respectueuse de l’équilibre fondamental des écosystèmes

Fuller écrivait également : « Le but de mes recherches est d’envisager l’univers comme une organisation de principes regénératifs... »

Puisque la planète bleue, la terre, est composée principalement d'eau, la Biosphère se reflète dans un plan d'eau extérieur. À l'intérieur, elle possède également un jardin d'eau qui confère au lieu un caractère contemplatif
Les sources documentaires ont été puisées sur le site du ministère de l’Environnement du Canada.