
De ma ville je me suis éloigné si peu...

... que dans le sous-bois de la montagne, je la sentais encore près de moi
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Quelque part, un escalier me mènerait quelque part, vers un boisée que j'aime bien

Et ces escaliers dans les boisées ont pour vocation de nous élever vers l'inconnu

Il faut prévoir le rendez-vous avec la beauté, l'immense beauté des forêts

Des sentiers, comme la route de nos ancêtres, nous montrent la voie

La lumière des boisés est diaphane et touche les surfaces avec magie

Dans ce sentier connu, je m'appuierai pour mieux guider ma course

Je serai un vieillard triste lorsque je n'irai plus au bois

Une enfant, telle Cendrillon, a perdu en forêt son soulier

Oü me mènera cet autre escalier, lui aussi patiné par le temps?

Les ponts servent à traverser les âges de la vie

Ces ponts semblent si immortels...

Revoir sa ville, c'est revoir un rêve momentanément suspendu