Selon Wikipedia, les mathématiciens connaissent bien l'énigme du nénufar qui consiste à trouver la solution à ce problème simple : « un nénufar double de surface tous les jours et met trente jours à recouvrir tout un lac. Combien de jours faudra-t-il au nénufar pour qu'il recouvre la moitié de ce lac » ?

Mon seul souci mathématique du jour était de compter les heures d'ensoleillement 😉

L'Académie française a, selon Wikipedia, écrit « nénufar » jusqu'en 1935. En adoptant la graphie « nénuphar » dans la huitième édition de leur Dictionnaire (achevée en 1935), les Académiciens se seraient laissé aller à un rapprochement sémantique avec les « nymphes ». C'est joli, non?

Toujours selon Wikipedia, le nénuphar est une plante aquatique, dicotylédone, de la famille des Nymphéacées, de l'ordre des Nymphaeales (contrairement au lotus qui fait partie des Nelumbonaceae)

Semble-t-il que les nénuphars n'apprécient guère l'agitation autour d'eux. Il faut donc éviter de les installer sous une cascade ou une fontaine 😉 (source : AuJardin.info)

Un visiteur au pays des nénuphars

A voir notre visiteur, on ne peut que pernser aux vers de Verlaine : Le couchant dardait ses rayons suprêmes Et le vent berçait les nénuphars blêmes ; Les grands nénuphars, entre les roseaux, Tristement luisaient sur les calmes eaux. (...)

Un bassin de jardin qui contient des plantes aquatiques n'attire pas que les petits visiteurs comme les grenouilles qui sont parfois bruyantes 😉

Un horticulteur écrivait que les nénuphars étaient les plantes royales d’un bassin. Je n'ai peine à croire cette affirmation

Le nénuphar est aussi connu sous les noms poétiques de : Lis des étangs, Nymphe des eaux, Lune d'eau, Reine des lacs, Herbe aux moines

L'Inde n'a pas oublié le nénuphar : la déesse « Mahalakshmi » est assise sur un grand nénuphar. Sa main est redressée avec beaucoup de pièces. Il faut la prier pour qu'elle se montre généreuse 😉

J'espère que mon petit visiteur ne vous a pas trop distrait des explications savantes sur les nénuphars 😉