Ce dimanche, jour exceptionnel de redoux
La révolution saisonnière se manifeste gaiement par une fréquentation en hausse des parcs de la nature
(N’oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir)
Un assaut sur les derniers congères marque cette possible transition en marche
Dans le bleu-gris du ciel, le paysage se transforme pour le plaisir des yeux... et du cœur
Autre signe du temps... ceux-là ont mis fin au règne des mitaines
Si si... il semble bien acquis ce pouvoir de circuler sans mitaines...
Et ces reflets dans les petits lacs improvisés donnent à cette transition saisonnière des airs de poésie
Tout pour le confor!
Les parcs retrouvent lentement leur beauté
La douceur du temps les rapproche davantage des plus petits... même si un certain petit bougon tourne le dos aux visiteurs 😉
La victoire des mitaines semble bien acquise
Il faut maintenant garder le cap vers un printemps tant souhaité
j’adore les gants qui pendent (ici les mitaines sont des choses que j’ai toujours trouvé un peu absurdes même si elles rendent moins maladroit, parce qu’elles n’ont pas de doigt ne couvrent que la paume et le dos de la main)
Brigtetoun
Les mitaines du Québec sont doublées et recouvrent entièrement la main. Froids intenses obligent 😉
Ouhlalala, le haut du stade ressemble à la tour de Pisa !
Mais cela fait plaisir de le revoir !
Joye
Heureux de ces belles retrouvailles 🙂
Les enfants que vous photographiez sont adorables dans leur abandon…de leurs mitaines d’hiver qui pendent nonchalamment à leur cordelette et je pense que s’ils en perdaient une, ce ne serait pas grave du tout 😉
Flairjoy
J’avais remarqué leur tentative à peine dissimulée de se débarrasser de leurs mitaines… signes d’un printemps qui arrive à grands pas. 😉
Je parlais hier de sortir les skis nautiques.
J’ai oublié le maillot et la crème solaire.
Ce mardi, 17°C au compteur à Bruxelles. Plus en Gaume.
Là bas, c’est la côte d’Azur de la Belgique. Un micro-climat.
Bien plus « sous soleil le soleil exactement »
L’enfoiré
Un beau coup de soleil que cette vidéo d’Anna Karina 😉 Merci. Nous nous réchauffons dans notre pays d’hiver. Les moyennes oscillent entre moins 5 et plus cinq.
Pierre
Ces enfants haut comme trois pommes sont adorables avec leurs mitaines abandonnées… bientôt, elles seront rangées dans l’armoire 😉 et la fonte offre de jolis tableaux de reflets dans la nature. La onzième photo est superbe 🙂
Bonne journée Pierre.
Denise
Enfants et adultes rêvent je crois de remiser dans l’armoire leurs mitaines 😉
Pierre, j’aime beaucoup toutes ces scènes familiales avec ces tout petits adorables, que vous capturez ici et là, dans plusieurs de vos billets. Comme des notes printanières, très attendrissantes, qui apportent de la douceur dans ce paysage enneigé. Il ne manque plus que Sam pour se mêler aux jeux des enfants.
Il doit-être bien tentant pour ces petits de sauter dans ces « mini lacs improvisés ». Sourire.
Chantal
Je vous rassure. Sam est bien présent mais il faut le débusquer. Sur la photo no 10, il se permet même de tourner le dos aux enfants qui viennent de lui donner une cacahuète. 😉
Pierre
J’ai vu le petit bougon haut perché sur sa branche. C’est trop joli. J’avais oublié de vous le dire 🙂
Denise
Je me doutais bien que vous le trouveriez… ce bougon sympa. 😉
au diable les mitaines, le printemps arrive … !
Lautreje
Puissiez-vous dire vrai 🙂
Comme d’habitude je passe a une heure où tout est dit. Il ne me reste qu’à contempler la poésie de ce dimanche de redoux.
Armando
Ce fut un magnifique dimanche. Il faut savoir l’apprécier au jour le jour 😉
En effet Pierre, j’ai ajusté mes lunettes – et surtout agrandi la photo – pour voir Sam. Quel bonheur cela doit-être pour les enfants. Dans ma forêt, les écureuils sont hélas farouches.
Merci, Pierre. Bonne journée à vous.
Chantal
Je peux vous rassurer. Les petits se sont amusés avec leur père à donner ainsi des cacahuètes à l’ami Sam 😉
Hélas, en voyant toutes ces photos adorables, je n’ai pu m’empêcher de penser au méchant croquemitaine japonais.
Dominique
Vous avez raison, mon ami. Inattaquablement raison. Ce croquemitaine hélas! bien souffrant tient entre ses mains le sort de l’humanité, me semble-t-il. L’espoir est encore permis que ce peuple ordonné, discipliné et fort saura s’en sortir.