
Comment traduire ces petits gestes, ces petits pas, ces petites actions qui nous caractérisent tant au cœur de la cité

La banalité urbaine, c'est de vivre le temps présent sans autre souci de ce qui nous entoure. Il en va ainsi de mon quartier au quotidien
(N’oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir)

La banalité du désordre est omniprésente et nous l'ignorons parce que nous y sommes indifférents

Un arrêt, technologie oblige, qui n'est remarqué que par le photographe au hasard d'un cliché

Parcourir, lire, s'instruire, s'informer, seul, attablé, silencieux, concentré

Se refuser à suivre les indications ou chercher sa voie sans guide pour vous orienter

Vélo oublié, vélo au repos, vélo abandonné, vélo garé pour défier le règlement, qui s'en préoccupe?

Était-ce lui le propriétaire? Qui s'en interroge?

Le Canada en élections. Pour ériger au sommet de notre gouverne une corruptible banalité

Casque d'écoute et planche à roulettes isolent de la lenteur moite de la vie

Fin des classes. Début des petites désobéissances

Occuper la rue pour se croire anarchiste débutant 😉

Pour ne plus se sentir seul dans une maison trop vaste et désertée

La banalité c'est un état d'être pour fuir la morosité et l'ennui
J’ai dépassé les 750 articles publiés en deux ans, vous m’avez comblé avec plus de 6275 commentaires et ce blogue contient 8950 photos de Montréal, du Québec et des États-Unis. Et pour conclure, n’oubliez pas de visiter notre ami Olivier pour qui je voue une grande reconnaissance. Il a fait connaître jour après jour ce modeste blogue sur la vie montréalaise.