
Comme il m'arrive fréquemment de le faire, je m'attarde avec délectation devant les vitrines de la papèterie Casse-Noisette du Vieux-Montréal
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C'est sous le Doge Francesco Foscari que les « maschereri » (faiseurs de masques), eurent leur propre statut, daté du 10 avril 1436. Ils appartenaient à la « frangia » des peintres et étaient aidés par les « targheri » qui imprimaient sur le stuc des visages à la physionomie parfois ridicule et avec abondance de détails (source : Université de Genève)

A Venise, le masque n'était pas porté exclusivement pendant la période du carnaval. Dès lors, un véritable commerce se développa autour de cet artisanat (source : Université de Genève)

En 1980 le Carnaval de Venise redevient une institution. Pendant la quinzaine de jours précédant le mercredi des cendres, il attire une foule de plus en plus cosmopolite. On y admire les costumes tous plus extravagants les uns que les autres; on y est tenté par une multitude de spectacles, de soirées... (source : Université de Genève)

La Venise d'aujourd'hui comble les passionnés d'art et de culture, les amants "magnifiques" et ceux pour qui le Carnaval est à jamais la fête par excellence (source : Université de Genève)

En constant mouvement, seuls ou en bandes assorties, les acteurs de la Commedia dell'arte, facétieux et bigarrés, parodient, s'esclaffent et farandolent, vifs comme les couleurs de l'arc-en-ciel dont ils sont affublés. Arlequins, mages, dominos, bouffons ou tragédiens, chacun joue son rôle de l'aube au crépuscule (source : Université de Genève)

Pierrots tristes et visages de porcelaine semblent contempler la tombée du jour avec toute la mélancolie qui les accable (source : Université de Genève)

es créatures plus évanescentes, diaphanes, s'apparentent à la lune, pâles comme elle, auréolées de tulles mousseuses et fluides, bleues, roses et argentées (source : Université de Genève)
Les sources documentaires ont été puisées sur ce site de l’Université de Genève.