
Météo dubitative. Décisions hésitantes

Je déciide d'errer dans les rues de mon quartier au hasard des découvertes
(N’oubliez pas de cliquer sur les images pour les agrandir)

Je laisse derrière moi mes angoisses métaphysiques

L'improvisation guidera mes pas et mes clics et mes déclics

Je chercherai à capter des airs me qui me sont à ce point familiers que je ne sais plus les distinguer dans le commun quotidien

L'ordinaire qui nous côtoie est ignoré. L'extraordinaire qui se fait attendre est ardemment désiré

Comment reconnaît-on un quartier habité sinon par de petites marques distinctives qui composent une identité propre

Que sont les grands boulevards, si impersonnels? Vaut mieux une ruelle si marquée par une vie de quartier

Au bout de cette piste l'éblouissement

Tout près, là, une apparition

Allez... une deuxième prise pour me convaincre de la réalité de la nature invisible

On ne marche plus dans la vie. Nous roulons sur la vie

J'aime ces métiers nobles des artisans de la terre

Balcons solitaires pour population nomade

Présence séculaire des grands verts

J'aime ce sentiment de bien-être en leur présence

Aux pas pressés vélos pressés

C'est l'heure du retour. Pourquoi diantre ai-je en tête cette pensée de de Gaulle : « Les choses capitales qui ont été dites à l'humanité ont toujours été des choses simples ». Je vieillis, assurément 😉