(Rubrique préalablement publiée le 11 décembre 2009)
Faut-il insister? Ils sont dans la rue. Par choix pour d’aucuns. Contre leur gré, pour d’autres. Ils quêtent. Ils sont bruyants. Ils font peur. Ils squattent. Ils chapardent parfois. Ils ont tout contre eux, ils n’ont rien pour eux. Ce sont les oubliées et les oubliés. Et Montréal n’y fait pas exception.
et leur vie est un héroïsme chaque jour recommencé
Belles photographies
Faut-il se réjouir que les « du dehors » rajeunissent
je pense à ceux que René Taesch à photographié de près
parce qu’il vivait parmi eux
http://www.infodujour.com/scripts/enq_epi.php?epiID=109
Des photos qui disent beaucoup…
et leur nombre est croissant…
terribles photos, terrible constat…