
Puisqu’il est question de Léonard de Vinci, il avait saisi une vérité fondamentale : celui qui s’oriente sur l’étoile ne se retourne pas

Coursier du ciel, je ne voudrais livrer que des bonnes nouvelles, distiller que du bonheur. Je ne me fatigue pas de mes rêves mais trop de rêves me fatiguent. Quadrature du ciel… si on veut

Et ces miroirs qui reflètent deux fois l’univers… Le néant n’a point de centre, et ses limites sont le néant, disait encore Léonard, mon inspirateur du jour

Glisser, rouler. S’envoler, atterrir. Rêver, s’éveiller. Vivre, dormir. Trouver la route céleste au cœur des rêves, sans limites et sans contraintes

Léonard de Vinci en venait à dire que : Qui pense peu, se trompe beaucoup. Je pourrais le paraphraser en disant à mon tour : qui rêve trop se fatigue beaucoup 😉

Quelqu’un me faisait remarquer qu’à trop regarder le ciel je pourrais ignorer les fleurs. Et le ciel et les fleurs me comblent par la lumière qu’ils dégagent

Si je regarde bien là-haut, de bonnes personnes samaritaines ont imaginé un ciel qui n’oublie pas les bienfaits du sol