
Gustave aimait se promener à pied sans but précis. Il préférait évidemment les promenades lorsque les humains n’envahissaient pas trop le territoire de leurs grosses pattes

Il y avait bien sûr des petites routes à traverser. Une autre idée farfelue de ces humains, se disait Gustave

Beau temps, n’est-ce pas? se hasarda le voisin. En effet, beau temps pour la promenade, répondit Gustave.

Mes hommages à votre Dame, relança le voisin. Je ne manquerai pas de lui transmettre vos vœux, répondit à nouveau Gustave

Tu sais qui j’ai rencontré sur la route? Je te le donne en mille! Cette peste de voisin. Si si. Le voisin
Nous savons toutes et tous, vous et moi, que les canards ne font jamais rien comme les humains. Ils sont fiers, distants et ne se mêlent jamais aux potins des cités et parcs.