
Samedi. Il a fait un temps magnifique. Une occasion pour accompagner mes amis Éva et Jean aux Rapides de Lachine

Un parc de la nature qui nous rapproche davantage du fleuve. Sanctuaire d’oiseaux et de poissons, le parc nature des Rapides donne aux visiteurs un aperçu de ce que pourrait être le paradis… s’il existait

S’isoler pour observer les oiseaux, s’isoler pour pratiquer la pêche, s’isoler pour marcher, s’isoler pour n’entendre que le chant des oiseaux… du bonheur à portée de main. Éva, Jean et moi profitons de ces moments de grande quiétude

S’asseoir, s’immobiliser, se taire, explorer, chuchoter… le sanctuaire s’impose, la prière consiste à remercier le ciel d’avoir sous les yeux tant de grâces

Si peu de choses peuvent élever notre esprit… lorsque grâce et beauté passent, il convient de faire un arrêt

Dans la solitude des grands espaces j’ai trouvé un coin d’humanité pour apaiser mon corps et nourrir mon âme

Ce qui aurait pu être rebelle devient soudainement un ami pour peu qu’il y ait de part et d’autre apprivoisement

Et pour retrouver mes pensées et mes souvenirs je reviendrai sur les lieux pour à nouveau naviguer sur ces mêmes flots. Merci Éva. Merci Jean
Quelle belle balade! Chaque photo nous fait découvrir des tableaux nouveaux!!! C’est vraiment beau!
non mon ami Rhône ne sois pas vexé, il faudrait inventer autre nom, le fleuve, ce fleuve de Montréal l’est plus grand que la mer
Belle promenade, en effet. En consultant, ce qu’on en dit on comprend qu’il vaut mieux rester sur la berge que d’essayer d’y nager. Un ami de Samuel de Champlain qui s’y noya.
Une île du Diable…une ancienne centrale hydro-électrique…
Que ces beautés engendrent une profonde gratitude!
Lorsque j’irais à Montréal, j’aimerais tant vous avoir pour guide 🙂
C’est un endroit merveilleux et magique au bord du Saint-Laurent et ces vagues lui apporte un petit plus. Une promenade qu’il me plairait de faire et je crois qu’il me faudrait une autre paire d’yeux pour tout admirer 🙂 Tant de beauté apporte douceur à l’âme.
Je dois avouer que c’est tout de même agréable de garder toujours des coins de Montréal où je ne suis jamais allé…. ça garde une partie de mystère et découverte incessante…
Ah Le Saint-Laurent, plus un poème, c’est un inépuisable émerveillement.