
Le canard colvert s’acclimate facilement à la vie urbaine et craint peu l’homme. Il est très grégaire en dehors des périodes de reproduction, et les femelles sont très fidèles aux mêmes territoires en y retournant tous les ans

Mon ami Marcel Asselin m’a fait parvenir ces photos en fin observateur qu’il est d’une petite famille de canards colverts et de leur habitat naturel

Appelé communément « malard », « tête verte » (le mâle), « à sourcils » (la femelle) et « susies » (femelle), le canard colvert, qui se distingue par son « couac » caractéristique, est l’un des canards les plus faciles à reconnaître (Source : Canards Illimités Canada)

Le canard colvert est un canard barboteur, ce qui signifie qu’il ne plonge pas dans l’eau pour trouver sa nourriture. Il s’accommode autant des aliments naturels que domestiques (comme les céréales qui restent après les récoltes). Ce canard mange surtout des plantes aquatiques, des céréales (blé, orge, riz et avoine) et des herbacées (Source : Canards Illimités Canada)

En avril et en mai, la femelle niche généralement à l’abri du couvert végétal dans les terres hautes qui bordent les milieux humides. Les premiers canetons naissent à la fin du mois de mai (Source : Canards Illimités Canada)

Le Canard colvert (Anas platyrhynchos) est aussi connu sous le nom de canard malard. Sa répartition couvre l’Amérique du Nord, l’Europe, l’Asie ainsi que l’Australie

C’est la femelle qui choisit l’emplacement du nid. Bien souvent, elle nichera sur un territoire à proximité de son lieu de naissance. Certaines femelles reviennent nicher au même site d’année en année. Le nid est composé d’herbes, de joncs, de feuilles, de duvet et est camouflé dans de hautes herbes (Source : Humanima)

À la naissance, les oisillons ressemblent à de petites boules de duvet brun et jaune. Dans les heures qui suivent, leur mère les conduit à l’eau. La cane prend continuellement soin de rassembler et de réchauffer ses petits. Elle leur apprend aussi à se nourrir. Vers l’âge de 6 à 8 semaines, les canetons sont autonomes (Source : Humanima)