
Quitter momentanément Montréal pour une évasion extra-urbaine est toujours un privilège pour un photographe qui n’a ni voiture ni vélo pour se déplacer. Les amis comme Éva et Jean sont inestimables car j’ai le plaisir de leur compagnie, dans un premier temps, et une occasion de m’éloigner de la ville en voiture, dans un deuxième temps. Que du bonheur, quoi 😉

J’aime le sens du mot escapade : Action d’échapper un certain temps aux obligations de la vie quotidienne. L’escapade est-elle propre aux humains?

Par temps de canicule, la ville peut se montrer impitoyable, surtout si le thermomètre se mêle de la partie… Une petite évasion dès lors est tout indiquée. Prendre l’air frais n’est jamais de refus 🙂

Je ne résiste pas à l’idée de photographier ce magnifique pont, le Pont Mercier, qui chevauche deux rives

Le canal de Lachine a été le précurseur de la révolution des transports au Canada au début du XIXe siècle. Il a également joué un rôle déterminant dans le développement industriel de Montréal, notamment comme pourvoyeur d’énergie électrique (Wikipedia)

J’ai longtemps aimé le silence pour lire. La quiétude d’un néant quelconque, impersonnel, pour savourer pleinement le cataclysme sonore des mots (Maxime Drouot, dit Maxime Chattam)

Je m’envole, comme un oiseau des airs, à la recherche d’une demeure et d’un lien de repos, d’un baume contre les souffrances de l’inquiétude, d’une consolation pour un cœur désolé (Georges Gordon, Lord Byron)

Formation, apprentissage, accessibilité… retrouver le savoir des anciens pour mieux glisser sur la vie