
Ma ville avec des arbres nus est une ville triste, Ma ville avec des arbres feuillus est une ville joyeuse

En été je voudrais parcourir tous les quartiers de ma ville à la recherche d’une certaine originalité

Ni trop jeune ni trop vieille ma ville laisse découvrir des charmes qui lui sont propres… toute influencée qu’elle est par un certain style nord-américain

Le promeneur solitaire voyage dans l’imaginaire de sa ville et dans les rêves qu’elle consent à lui suggérer

Arbrisseaux et chants d’oiseaux… et puis quelle belle citation de Francis Blanche : Je n’aimerais guère vivre dans la Lune. Ça m’embêterait de changer de quartier, tous les neuf jours

Étrange cette vérité qui veut que des résidents d’un quartier ne le quittent pour ainsi dire jamais, de toute leur vie