
Jour magnifique. Alternance entre ensoleillé et gris. Température de 20 degrés. Au point de départ je voulais me rendre au centre-ville. Changement d’horaire. Je vais visiter l’Orient

Je suis un ami du Jardin botanique de Montréal. Cela se voit. Un endroit où j’aime me retrouver tant sont variés les ilots de paix et de sérénité. Je me dirige cette fois vers l’Orient

J’ai programmé dans mon casque d’écoute la symphonie pastorale de Beethoven que j’écouterai en boucle une grande partie de l’après-midi

De ma promenade solitaire j’en tire l’occasion de m’interroger sur la diversité des Beautés de Montréal. Je sens que ce blogue devient plus personnalisé et reflète davantage quelques états d’âme et quelques errances. L’ami lecteur et l’amie lectrice seront-ils toujours au rendez-vous?

Je reste zen à l’idée que la fréquentation progresse lentement et qu’elle remonte le petit cours d’eau pour toucher de nouveaux scores. Nous en sommes au mil trois-centième article aujourd’hui. Et sur les Beautés de Montréal se trouvent plus de 15 500 photos

Je tente de laisser derrière moi, pour quelques heures, les soucis domestiques et de me concentrer sur l’harmonie des lieux et des paysages

Je suis surpris de la proximité de ceux-ci avec les visiteurs. Attendent-ils de notre part une quelconque générosité? Je n’ai rien à leur mettre sous la dent 😉

Ils doivent se préparer au recouvrement de leur habitat par une glace qui les retranchera, une saison durant, de la surface de la terre

S’ils pouvaient parler… nous raconter… nous dire comment l’hiver sera, comment la vie sous-marine se vivra hors de la présence humaine…

Je sens le temps passer. Je sens non sans angoisse l’hiver approcher. Comment recouvrir mon habitat d’une mince couche de glace pour m’isoler de la froidure saisonnière et et des affres de l’hiver? Je reprendrai à mon compte cette vieille sagesse toute orientale : Il faut faire vite ce qui ne presse pas, pour pouvoir faire lentement ce qui presse

Et toujours de l’Orient je tire cet enseignement qu’être homme est facile, être un homme est difficile
Bravo cher Pierre, votre blogue est une très belle réussite! C’est tellement plaisant venir s’y balader, vos paroles, textes et photos, tout est merveilleux! Un gros merci pour tous ces magnifiques billets! Bisou et bon week-end tout doux!
l’opulence de cette nature !
Or et argent, non seulement ces poissons, mais les mots également… Dans ma tête « d’enfant » chantonne trés souvent… « qu’il est difficile de grandir » ! 😉
Tes balades te paraissent solitaire, mais attention des ombres te suivent…
On est là avec toi et on ne laisseras pas tomber!
Les photos sont comme toujours magnifiques. Bravo!
quelle magie ce parc et merci de nous la faire partager ! Amitiés par delà l’Atlantique
Botanique (pas de Titanic en vue) pacifique, les poissons sont domestiques, la vie est atlantique.
« Être au rendez-vous de vos articles et photos », ayant commencé depuis peu, il faudra que je « fouine » un peu parmi vos anciens posts. Montréal me surprend et me ravit, elle que je ne connaissais que de nom. Remarquez et je ne sais pourquoi, j’en parle au féminin.
Chaque jour est un bonheur de venir admirer Montréal et surtout vos magnifiques photos. Grâce à vous, Pierre, je découvre une ville qui m’était complètement inconnue avant. Je reconnais des quartiers, le port, certains parcs et vos mots toujours bien à propos. Une belle poésie entre photos et texte. Merci Pierre et je vous souhaite un bon dimanche 🙂