(Reprise d’une rubrique d’automne 2009. Les automnes se suivent…)
Avant que ne vienne l’hiver nous hanter, je quitte tôt la maison pour m’aventurer en forêt urbaine. Le Mont-Royal est parmi les belles forêts du Québec. À flanc de montagne, cette forêt se laisse découvrir à travers ses sentiers pédestres. Loin des cris et des fureurs de la ville, la forêt nous isole et nous enveloppe d’un aura de paix et de sérénité. Comment traduire ces sentiments à travers de si modestes photographies? Je fais confiance à votre propre imagination.

Le dialogue avec la nature reste pour l'artiste une condition sine qua non. L'artiste est homme; il est lui-même nature, morceau de la nature dans l'aire de la nature (Paul Klee)
C’est tellement plaisant se promener en sentier dans la magnifique forêt, havre de paix et de bienfait! Bonne soirée cher Pierre!
ah vos arbres ! et ces photos qui caressent une petite feuille, qui font jaillir la flèche rouge d’un arbre !
étrange cette expression « forêt urbaine » non utilisée chez nous. Etrange mais signifiante. Bon dimanche à toi
Couleurs à profusion qui enivrent! Mais cet « écran »!, je le contemple un peu effarée, tellement dense et cette hauteur…
L’automne nous offre toute sa panoplie de couleurs et il est impossible de s’en lasser. Au contraire, on en redemande.
Votre photo du sous-bois, je l’imagine comme une bulle colorée et qui nous offre sa chaleur, on doit s’y sentir bien et à l’abri.
Merci Pierre de cette douceur que vous nous offrez. Bon dimanche.
Les saisons ne sont jamais les mêmes chaque année 😉
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