
Temps doux. Temps frais. Alternance entre soleil et grisaille. Les variations climatiques sont, semble-t-il, l’apanage des automnes

Je ne saurais trop expliquer la pulsion qui m’a incité à me rendre dans les iles. Je suis toujours assuré d’y retrouver le silence et la quiétude si nécessaires à mes observations naturalistes

Sur les iles, le jeu est simple : conjuguer lumière et ombre pour donner à une photographie un caractère d’originalité

Fréquenter les iles, comme le savent maintenant si bien les lectrices et les lecteurs, c’est aussi se rapprocher du fleuve

Les noirs chagrins m’entraînent au fleuve de l’oubli, au séjour de l’éternel sommeil (Luís Vaz de Camões)

Conjuguer le verbe aimer, c’est essayer de prendre le chemin qui mène aux rives du fleuve. La fraicheur de la vie a un goût de bonheur (Christine Motte)

Jean Giono a eu de si beaux mots pour définir sa vision du fleuve : Un fleuve est un personnage, avec ses rages et ses amours, sa force, son dieu hasard, ses maladies, sa faim d’aventures
beauté, modernité et pureté
Magnifique promenade! Je serai absente jusqu’à lundi, petit voyage aux USA donc je reviendrai vous voir dès mon retour! Je vous souhaite un très beau weekend tout doux!
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Pas eu le temps de m’arrêter hier et de lever la tête, ici. Mais je me rattrape… et j’apprécie !
C’est une magnifique promenade dans les îles pour retrouver le calme et quel bienfait pour l’âme. La nature est encore si belle. C’est du bonheur de pouvoir s’éloigner de la ville.