
De Lise Deharme, née Anne-Marie Hirtz, cette invitation : Écris tout ce qui te passe par la fenêtre !

Jour de pluie, sans soleil, la fenêtre s’ouvre à la planète. Jour de soleil, sans pluie, la fenêtre s’ouvre à l’Humanité

Derrière les carreaux, une solitude qui, dans le vague, se dissimule. Derrière les carreaux, un bonheur qui, dans une errance, déambule

Au cœur de la cité, nous pourrions reprendre ces mots d’Elsie E. Vignec : Dieu vous a fermé toutes les portes ? Regardez bien… il a laissé une petite fenêtre ouverte…

Et rien nous fera oublier cette vérité de Paul Lorain, écrivain et recteur de l’Académie de Lyon, selon laquelle le rossignol chante mieux dans la solitude des nuits qu’à la fenêtre des rois
mille fenêtres sur l’automne se sont éveillés en doux sépia, en ombre et lumière, délaissant les couleurs inouïes de l’automne de leur pays
tous ces gris restent néanmoins lumineux. Bravo Pierre
Tant de vies, de pensées, de solitudes, de désirs, tant de mystères sur lesquels nous divaguons.
Je suis enchantée dans tous les sens de ce terme…
Très belle série! Des lignes, des formes, des fenêtres parées de délicatesse et de subtilité reflétant reflétant les goûts de leur propriétaires.
Le gris sied bien aux détails de ces architectures sans aucune couleur pour distraire notre oeil. Regards complaisants sur des fenêtres complices et gardiennes du temps jadis…
Derrière les fenêtres, derrière les voilages, on s’imagine de jolis intérieurs cosy…
J’aime ces alignements de belles fenêtres et ce gris leur va à merveille.
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