
Rue Sainte-Catherine. Promenade calme malgré tout en raison de l’excellente température qui s’est montré si douce

Je me fais plaisir. Je vais flâner dans cette librairie aux airs sympathiques et au personnel courtois et affable. Je franchis la Zone libre de Montréal 😉

Ici il est encore permis de rêver, comme voir assis au milieu de la librairie le Tigre de papier, le peintre Fernand Riopelle

Je pourrais imaginer des rencontres insolites, comme Camus et Sartre débattant des opinions de Michel Onfray

Dans un tel lieu il n’est pas interdit de laisser vagabonder son imagination et de la laisser se perdre dans les chimères et les éphémères

Je me suis laissé inspirer pour cette chronique par ce titre si beau : les mots de désordre. Je suis ressorti de Zone libre plus enrichi… n’est-ce pas?