
Fatalisme de saison. Je n’y peux rien changer. Le froid me tue

Ce lundi, une température qui avoisinait les moins 20 degrés celcius. Ce mardi, les moins 10 degrés. Cette semaine, les moins 24 degrés.

Et ce vent qui vient tout brouiller

Jour ensoleillé qui montre bien la guerre sans merci que se livrent les éléments de la nature.

Et regardez-moi cette poudrerie!

Et après ce lundi glacial, je n’ose imaginer ce qu’aurait été ce mardi sans la présence du soleil

La vigueur de la jeunesse, la raideur de la vieillesse

L’hiver me semble un long chemin dont je ne vois pas la fin

J’appréhendais, plus que tout, l’hiver. Mes craintes étaient fondées

Heureux ces patineurs qui vibrent aux grands froids de notre Sibérie du Québec

La haine, c’est l’hiver du cœur, disait Hugo. Je lui répondrais : l’hiver, c’est la torture du corps.

Ma promenade aura été de courte durée. J’entre, tout frigorifié, dans un resto pour un chocolat chaud.

Le printemps reviendra-t-il un jour