
Pour me rendre au Biodôme, j’ai suivi les longs couloirs du stade olympique

Journée ensoleillée et glaciale. Rien ne change, n’est-ce pas?

Je me suis livré à l’improvisation sans préoccupation d’horaire

Le castor était toujours à pied d’œuvre pour bâtir sa maison

Je suis allé voir les oiseaux avec de si belles couleurs
Depuis six mille ans, la guerre
Plaît aux peuples querelleurs,
Et Dieu perd son temps à faire
Les étoiles et les fleurs.
Victor Hugo

Ils nous en mettent plein la vue… Monsieur l’Ara était fort occupé lors de mon passage

Les nombreux aquariums du Biodôme ralentissent nos pas tant ils sont exotiques et de belle fréquentation

Le grand ange de l’aquarium brillait dans la lumière

La volupté des mouvements était ici indéniable

Et mes joyeux petits compagnons animaient l’endroit.

Rien ne semblait perturber les habitants des lieux… Boutade ou indifférence… ?

Mais à quoi diantre peut penser le grand oiseau blanc au milieu de la forêt tropicale? J’aimerais croire qu’il a une pensée sympathique pour nous pauvres humains…

Des tropiques aux zones polaires, la diversité nous montre la beauté de notre planète

Le Biodôme de Montréal est un bien beau refuge… n’est-ce pas?

Il y a tant à voir, à admirer, à aimer…