
Au centre-ville de Montréal, j’ai cru voir le printemps

Il y avait assurément des airs de printemps qui nous donnaient des espoirs les plus fous

Douceur et volupté se conjuguaient aux goûts du jour

Au crépuscule du jour les lumières scintillantes étaient une invitation à la détente et à la farniente

Au printemps les couleurs revivent et nous baignent dans une admirable quiétude de la vie

Dans une saison monochrome les couleurs de la vie se font polychromes

Après la tristesse de l’hiver semble poindre la lumière du printemps. Holà!, toutefois.

Les parfums s’offrent aux rêves

Et d’effluves voluptueuses nos rêves sont envahis

Les vitrines du jour chassent de nos esprits ces images d’ennui et de mélancolie

Dans les légendes des siècles, force est de constater que le printemps fait refleurir en nous les accents du bonheur

Aux visages crépusculaires des hivers suivront les éclats de jeunesse du printemps

Le rêve encore permis accompagne notre route pour la mener plus loin

Le printemps est-il vraiment à Montréal? J’en doute. Mais pour quelques heures d’évasion… je le voudrais bien 😉