
Arrivée : Il me fallut quitter cette joie tranquille (de la campagne) et revenir, poussé par cette superstition des villes qui fait que tant d’hommes aiment encore mieux y être broyés que de ne pas faire partie de ce « mouvement » dont ils sont d’ailleurs les douloureux et inconscients rouages
Claude Debussy

Réciprocité : On ne peut pas peindre du blanc sur du blanc, du noir sur du noir. Chacun a besoin de l’autre pour se révéler

Urbanisme : Villes du Nouveau Monde : elles vont de la fraîcheur à la décrépitude sans s’arrêter à l’ancienneté
Claude Lévi-Strauss (Bruxelles 1908)

Évolution : La ville est pourtant ce qui compte le plus, qui doit compter le plus. Parce que rien n’est plus nous-mêmes que ça. Quand elle change, c’est nous qui la faisons changer
Eugène Guillevic (1907-1997)

Zones d’ombre : Cité-dortoir, cité poubelle,
Nuit et brouillard, lumières artificielles,
Dans nos intérieurs d’infinie solitude,
On rêve d’ailleurs sous d’autres latitudes
Louis Chedid, Mégalopolis
fait ressortir, met en évidence les belles géométries de la ville
Différent et superbe, voir une partie la ville en noir et blanc c’est bien spécial! Merci pour ce beau billet, bise et bonne soirée!
Une ville que vous savez si bien rendre belle, en N&B comme en couleur !
Le noir et blanc va si bien à Montréal ainsi que les dégradés de gris. Magnifique!
Belle journée, Pierre.
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Ce gris des photos donnent une notion intemporelle à cette ville. Bien, très bien l’angle de vue pour la prise de photo devant la porte vitrée : chapeau… alors étiez-vous derrière la voiture, côté circulation, par dessus le toit ? 😉
Vous avez donc un compte en Swiss ? C’est forcément au noir…