
Chronique singulière. Chronique intime. Chronique inspirée de ces mots d’Eugène Ionesco : Il faut écrire pour soi, c’est ainsi que l’on peut arriver aux autres

Une promenade. Ici commence cette chronique. Par une simple promenade. Qui sont ces gens? Des personnes qui m’inspirent beaucoup de tendresse et d’amitié. Goûter aux derniers jours doux d’automne était le but de cette promenade improvisée dans un lieu que je fréquente, que j’aime et qui me sollicite beaucoup

La longueur de ces chemins à parcourir ensemble s’amenuise avec le temps. Les carrefours se rapprochent davantage entre les arrivées et les départs

Photo captée avec un appareil tout simple, sans recours à des techniques complexes de la photographie. Une promenade toute simple. Au bord du fleuve, Sans la complexité de la ville. Une solitude partagée. Une filiation au cœur d’une émotion.

La route du temps est-elle bleue comme le fleuve qui ne s’arrête jamais? Et si la vie pouvait ne jamais s’arrêter…

Si nous pouvions fleurir le passage des gens aimés et animer ainsi ce grand âge que d’aucuns appellent doré?